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Vous connaissez mon addiction aux sushis, makis et autres sobas… Voici, dans le même trip japonais mes dernières acquisitions dans une boutique de Bentos en ligne : www.bentoandco.com
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Chère Delphine,
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Le monde merveilleux des enfants.
On commence à prendre le rythme vacance…
Petit déj' à l'hôtel. Deux couples russes discutent tranquillement. Ils ont la trentaine, deux enfants d'une dizaine d'années chacun. Pas dérangeants les marmots vu qu'ils sont tous les 4 vissés à leur console de jeu portable et que le repas s'est déroulé sans qu'aucun n'en lève le nez.
Ah ouais, ça se passe comme ça chez les les russes ? Moi qui ai déjà suffisamment de mal à garder le contact audio avec ma progéniture, autant dire que je lutte pour qu'aucun bidule portable, aussi ludique soit-il, ne franchissent notre porte.
-"Allo, Star Command, ici votre mère. Est-ce que vous me recevez ?"
Un jour, j'ai même pris un RDV ORL pour Loris par crainte d'une surdité naissante. Le spécialiste m'a rapidement rassuré en souriant, mais j'ai lu dans ses yeux que le cas était plus grâve et casi incurable. En effet, certaines phrases sont inaudibles par nos chérubins : "Va t'habiller. Lâche ta sœur. Va te laver les dents. Eteins cette télé. Mets tes chaussures…". Ça doit venir de la forme verbale. L'enfant n'entend pas l'impératif. Il se met en mode "pause", glisse dans un monde parallèle où plus rien ne peut l'atteindre. Quand il en sort, vous êtes hystérique en train d'éructer des menaces démesurées. Il soulève alors un sourcil en disant "Comment ?".
Non, l'enfant n'est pas sourd. Il n'en a juste rien à faire de rien.
Mais revenons-en à nos vacances où la bonne humeur flotte sur notre famille irréprochable. Pour aller voir toute la bande à Stich, mes chérubins sont prêts en un temps record (tout y est, écharpe, bonnets, gants… c'est la magie de Disney !).
Objectif du jour : les Studios.
Je croyais échapper aux loopings et autres chutes dans le vide. Nan nan. Y en a plein aussi ! Mais on ne te prévient pas toujours, comme dans le "Rock n'roller Coaster" où tu crois assister à un enregistrement du groupe Aérosmith et où tu finis (encore) dans l'inévitable grand huit (Yes !!!). Avec la musique à fond dans les oreilles, je découvre que j'ai un peu moins peur (disons que ça occupe quand on a les yeux fermés !)
Bon, pour la Tour Infernale et son ascenseur pété… j'aurai dû me douter du truc. Mais comme des enfants de 5 ans faisaient la queue à côté de nous, je me suis dit que ça ne pouvait pas être pire que Space Mountain. Et bein si. C'est pire.
Alors voilà, on arrive dans un hôtel délabré "où la vie s'est arrêtée en 1939" je cite. Dans l'ambiance des vieux épisodes de la 4è dimension (j'adore !), on nous apprend que, par une nuit d'orage, les occupants du Hollywood Tower Hotel on vécu un événement des plus étranges. Une famille accompagnée de leur servante et d'un bagagiste décident d'emprunter l'ascenseur pour rejoindre leur chambre. C'est à ce moment précis que la foudre s'abat sur l'hôtel et fait disparaître la cabine d'ascenseur avec ses occupants.
Et nous allons bientôt subir le même sort !!! On nous installe alors dans la cabine (la même qu'en 1939, même pas réparée !). Je me sens dans la peau du condamné à mort qu'on attache sur la chaise électrique. Et l'inévitable se produit : horreur, les cables de l'ascenseur ont encore lachés (quel manque de bol !). Nous tombons littéralement dans le vide à une vitesse vertigineuse. Puis l'ascenseur s'arrête net (finalement, un cable a dû tenir le coup !) puis nous remontons à fond les gamelles, pendant que je continue à m'égosiller telle ma petite dernière quand son frère lui cache l'écran de télévision.
Soudain les portes de l'ascenseur s'ouvrent brusquement sur le vide. Nous sommes au dernier étage de la tour et le vide s'étale devant nous. L'évanouissement me semble de circonstance mais il faut croire que mon moi profond a décidé de me faire vivre le cauchemar jusqu'au bout. Redescente difficile pour mes cordes vocales et sortie de tout le monde, hagards. Je me déteste, moi et mes idées de vacances féeriques.
Voilà. Au moins, ça a bien fait rire mon chéri (ce sadique) qui s'est bidonné pendant toute l'attraction. Les enfants ont survécu eux aussi mais plus tard "ça risque de leur coûter cher en psy" comme dirait ma copine Gaëlle. Et moi, je sais comment je réagirai quand la foudre tombera sur l'ascenseur de la Tour de Bretagne alors que j'atteins le dernier étage, c'est pratique !
Le reste de la journée s'est déroulé joyeusement. J'ai été transportée par l'univers du Pirate des Caraïbes avec la balade en barque dans de superbes décors aquatiques. A l'extérieur, c'est encore plus beau : le vaisseau du Captain Jack Sparrow, le rocher en forme de crâne, l'île aux pirates et toute la végétation sauvage où s'ébattent canards et mouettes. On a bien rigolés sur les ponts suspendus des aventuriers de l'Arche Perdue… On a visité l'arbre des Robinson Crusoé, superbe et tellement exotique
J''y serai bien restée quelques semaines en admettant qu'on soit vraiment sur une île déserte… et avec Johnny Deep en plus, si possible !
Rédigé à 10:55 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (10) | TrackBack (0)
Fin du premier jour : l'hôtel de "Shining".
Le soir, nous avons pris possession de notre chambre au “Sequoia Lodge“. La brochure disait : "La nature dans toute sa splendeur. Mobilier rustique et feu de cheminée. Un accueil authentiquement chaleureux vous attend dans cette maison forestière inspirée de celles des parcs nationaux américains…"
Il est vrai que je suis partie en vacances avec un moral mi figue - mi pomme pourrie. Je laissais derrière moi une grosse période de compètes qui me tenaient vraiment à cœur… l'une perdue (j'avais eu la réponse juste avant de partir), et l'autre en attente de réponse et quand ça tarde… ça veut dire la même chose, faut pas se leurrer ! Et puis ces vacances à Disneyland que j'avais organisé "à l'insu de mon plein gré"… Disney symbolise bien toutes les contradictions qui s'opposent en moi… le système américain, les objets dérivés et les licences qui envahissent notre quotidien, le formatage… et pourtant, je suis fan de Lilo et Stich, Toy Story, Mulan… Des contradictions, j'en suis pétrie. J'adore craquer pour un cheese/frite mayo/ketchup sunday/caramel pour aller ensuite acheter des trucs allégés, Bio ou Issus du commerce équitable… Et je culpabilise illico. Je sais, c'est humain. Vous voulez connaître ma super théorie bien noire sur la nature humaine ? Non ? Tant pis !
Revenons-en à notre hôtel perdu au fin fond de la nature hostile.
Etait-ce dû à mon super moral de wineuse, j'ai soudain eu l'impression très désagréable de débarquer dans l'hôtel de Shining. Dehors, la tempête fait rage, nous sommes fatigués, trempés… L'hôtel est très grand, assez classe malgré son style année 70, avec de la moquette partout et de grands couloirs vides pleins de portes en bois avec des numéros dorés. Avec mon pauvre sens de l'orientation, je suis sûre de me paumer en moins de deux et là… plus rien n'empêchera Jack Nicholson de me régler mon compte avec sa tronçonneuse (heu, c'était pas plutôt une hache ?)… Peu importe, le résultat sera le même.
J'ai l'impression d'avoir quitté la France depuis le début de notre séjour, on croise tout un tas de nationalités différentes (le grand jeu avec les enfants est de trouvé laquelle), et cet hôtel termine parfaitement le dépaysement. Situé au bord d'un grand lac, de grands arbres (des Séquoias j'espère !!) sont secoués par les vents violents. Il parait que les aéroports sont fermés ! Au secours !!! Le scénario se précise ! (Bon, ok, les trains fonctionnent, eux… mais qui sait comment tout cela va finir… tan tan tan !)
Arrivés dans la chambre, on tente de sécher nos chaussures à l'aide du sèche-cheveux. Les enfants découvrent (miracle !) qu'il y a une télé avec pleins de chaînes Disney. J'arrive à peine à négocier un bon bain chaud pour les enfants… heureusement, il y a du bain moussant dans une bouteille en forme de Mickey (yes !). Tout le monde s'écroule (dans notre lit, bien sûr) et c'est serrés comme des sardines qu'on se dit qu'elles sont vraiment belles ces vacances en famille.
Rédigé à 15:51 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (7) | TrackBack (0)
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