Hier après-midi, j'ai vécu un truc vraiment fort.
C'est un peu au hasard que j'ai proposé à mes loulous d'aller nous mater Avatar mercredi après-midi. Sans grande conviction d'ailleurs… J'ai cédé à l'option 3D malgré le mal de nez que procure rapidement la paire de lunettes trop grande à la Camilla Jordana. Je ne connaissais pas le pich, ni le jeu vidéo, ni l'univers, ni rien. Persuadée que j'allais rapidement me faire ch…, je me suis calée dans mon fauteuil, heureusement confortable, du Pathé de Saint-Herblain.
Et là, le voyage a commencé.
Décollage brutal dans un monde militaire américain futuriste, façon Rambo, tout gris, masculin, bourré de testostérone, c'est marche ou crêve… c'est l'univers trop méchants des Marines.
Et puis on est propulsé dans un monde vert et bleu, celui de Pandora, forêt tropicale où tout n'est que beauté, pureté, communion totale avec une nature merveilleuse, baigné de lumière phosphorescente, où chaque créature est plus époustouflante l'une que l'autre… WHAOUH. Je suis boulversifiée !
Voilà, je ne vous en dirais pas plus car vraiment, ça serait dommage de dévoiler quoi que ce soit d'autre.
Tout ça pour vous dire que les trois heures ont passé comme dans un rêve. Quand le générique est apparu, j'étais incapable d'applaudir avec le reste de la salle tellement j'étais tétanisée par l'émotion. Je n'avais pas envie de quitter leur monde. Quand j'ai retrouvé mes enfants, je n'arrivais plus à parler de façon cohérente. J'ai donc laissé les larmes couler tout en rigolant dans les bras de ma fille qui doit définitivement penser que je suis folle à lier. Mais moi, j'aime ça et j'attends avec impatience le prochain bain de larmes.
Vous êtes encore là ? Vous devriez déjà être au cinéma !
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